Quand tu seras parti, ils déploieront leurs ailes les oiseaux de l’enfance qui se tenaient près de toi, dans l’arbre de ton âme, dans l’âme de ta nuit et puis s’envoleront dans un été où les pollens migrent autour de la terre intime en cherchant quelques fleurs comme on cherche un chemin dans le coeur d’un ami pour refleurir le silence d’être ici.
Merci et surtout merci de vous abonner en retour, sauf si vous pensez être plus méritant que moi en terme poétique? Mais j’en doute. Entre poètes, on recherche l’unité n’est-ce pas?
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Effectivement la question de mérite n’a rien à voir ici. Ce qui importe c’est la vérité et l’intensité de ce que l’on vit et tente de dire. Chacun essaye. Le temps des grosses pointures est passé. On marche à pas plus modestement chaussé et l’on fait le chemin que l’on peut, le chemin que l’on est.
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